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Acquis et limites de la critique structuraliste : pour une critique littéraire plus efficiente

Prof. Jean-Baudouin MOKOHA MONGA-ADOGO[1]

 

     Nous sommes contraint de nous arrêter, un moment, face à quelques difficultés d’interprétation des textes auxquelles sont confrontés constamment nos apprenants dans les auditoires, dans les salons littéraires ainsi qu’au cours des soutenances des mémoires et des thèses de doctorats, afin de réfléchir utilement sur les acquis et les limites de la critique structuraliste.

     En effet, celle-ci a malencontreusement inspiré à certains chercheurs en littérature un structuralisme radical qui les a emmurés dans une sorte de ghetto ou d’ostracisme épistémologico-méthodologique au point d’ignorer étrangement tout ce qui serait considéré comme éléments consubstantiels au texte. Ils versent ostensiblement dans un nihilisme ahurissant. Telle ne nous semble pas être véritablement l’essence de la critique littéraire préoccupée de la cohérence d’une œuvre littéraire.

     Aussi notre réflexion portera-t-elle sur les questions suivantes qui se révèlent du reste incontournables : peut-on évoquer, dans l’interprétation d’un texte, l’auteur, le contexte historique et culturel dans lequel est écrit ce texte ? Ne faut-il s’arrêter qu’à la forme et au fonctionnement du texte, sans se préoccuper du contenu ? Existe-t-il une lecture objective ou toute lecture n’est que l’émanation de la subjectivité du lecteur ?

     Pour tenter de répondre à ces questions fondamentales, notre réflexion se penchera sur quatre axes essentiels, en l’occurrence les présupposés de la critique structuraliste, l’auteur, l’expression du monde ou de la réalité et la place du lecteur dans la quête du sens, sans vouloir nous fourvoyer dans d’autres considérations dans le cadre étroit de cette réflexion coulée sous forme d’article.

I. Les présupposés de la critique structuraliste

     La critique structuraliste née au cours du 20ème siècle a eu un écho retentissant en France, vers les années 1960, grâce surtout aux travaux de Roland Barthes (1915-1980). Elle se proposa de fonder une science de la littérature parallèlement aux travaux linguistiques de Ferdinand de Saussure connus sous le thème de « Structuralisme saussurien » et répercutés à travers le monde par son disciple André Martinet.

     Point n’est besoin de rappeler le caractère arbitraire du signe linguistique de Ferdinand de Saussure pour qui la signification des signes linguistiques est différentielle ; c’est-à-dire résulte de leurs relations réciproques et non référentielle ; c’est-à-dire sans référence aux choses. D’où tout sémantisme, toute référence à la réalité est superfétatoire, sauf la syntaxe et les structures narratives.

     Ainsi, pour Roland Barthes et ses disciples, « les fausses évidences » longtemps en cours dans l’exégèse littéraire sont battues en brèche, mieux toutes les idées reçues prises pour normes dans l’herméneutique littéraire sont dépassées.

     Concrètement, l’intention de l’auteur ne peut plus déterminer la signification d’un texte. La littérature parle d’elle-même dans son immanence et non au monde ou du monde. De même, les éléments biographiques comme vestiges de l’intention de l’auteur sont à bannir. Le texte littéraire est et demeure une chose verbale ou un objet verbal autonome, sans emprise sur les choses ou la réalité et loin de l’expression du vouloir dire d’un auteur. Aussi tout texte doit-il être lu et étudié sans référence à une quelconque intention.

     D’où aucune comparaison ou superposition possibles des passages différents d’un même auteur, comme dans la psychocritique de Charles Mauron, n’est admise dans la critique structuraliste. Aucune intention n’ayant présidé à la production d’un texte, il (le texte) est par conséquent le produit d’un processus aléatoire comme l’épervier qui se poserait sur un manguier  en entrainant par hasard la chute des mangues mûres.

     La littérature devient ainsi une auto-référence, car on ne lit nullement pour découvrir la réalité des choses, mais pour les références de la littérature à elle-même. D’où les leitmotive de certains chercheurs totalement inféodés au structuralisme saussurien et barthien : « Le texte, toujours le texte et rien que le texte ! », « structuralisme, mathématique de la littérature ».

II. L’auteur

     Il nous semble difficile, voire irrationnel d’affirmer qu’il peut exister des œuvres sans auteurs. Quoiqu’Homère fût aveugle, les critiques littéraires lui concèdent la paternité de l’Iliade et l’Odyssée en littérature grecque. D’où l’appellation des « poèmes homériques » pour identifier clairement ces œuvres. Il en est de même de la poésie de Beowulf dont on dit qu’elle fut sans auteur en littérature anglaise. Aujourd’hui, tout porte à croire qu’elle fut écrite par un clerc.

     Même la « Chanson de Roland » sur laquelle on a longtemps fait croire aux gens qu’elle fut sans auteur se termine curieusement par cette mention : « Voici la chanson que Turoldus a déclinée ». Pour invraisemblables et multiples que soient les hypothèses émises autour de cette chanson de la poésie épique carolingienne par les critiques du Moyen-Age, à l’instar de Joseph Bédier, l’on s’accorde néanmoins à penser, de nos jours, à la lumière des études nouvelles, que ce fut Turold qui avait composé cette chanson.

     En littérature orale africaine, l’on a érigé en dogme l’anonymat des proverbes, des contes et des autres genres tout en oubliant qu’ils ont pour auteurs les groupes sociaux dans lesquels ils sont nés. L’on dira par exemple contes mongo, luba, tetela, ngombe… Ce constat ressort de la considération anthropologique communautariste africaine selon laquelle l’individu est totalement subsumé, voire subytiquée par la communauté. Bref, le primat de la communauté sur l’individu.

     En effet, pour peu que nous réfléchissions, nous découvrirons que la relation scripteur-œuvre demeure indubitable et inévitable. Autant on reconnait l’arbre par ses fruits, autant on identifie l’auteur par ses œuvres et vice versa. Gustave Flaubert déclarait. « L’artiste se cache derrière son œuvre comme Dieu dans la création. Invisible et tout-puissant, on le sent partout, mais on ne le voit pas ».

     Pour leur part, les psychanalystes n’affirment-ils pas que « l’œuvre littéraire est l’expression tardive et involontaire de la vie affective infantile » ? C’est que, toute proportion gardée, l’œuvre littéraire demeure le reflet des influences du milieu naturel de l’auteur, d’autant plus que ce dernier est un microcosme évoluant dans un macrocosme dont il exprime les joies, les peines, les misères et les préoccupations. Sarah Kofman affirme que : « Le texte de l’œuvre et celui de l’auteur sont dans un rapport d’écho et de réplique »[2].

     D’ailleurs, les personnages campés par les auteurs se révèlent de véritables masques à travers lesquels se rêvent et se projettent les écrivains. L’on ne peut dès lors s’étonner d’entendre Gustave Flaubert proclamer tout haut : « Madame Bovary, c’est moi ! ». De même, Samba Diallo, Antoine Roquentin, Nathanaël, Pierre Landu, Jean-Marie Medza, Diaw Falla ne sont-ils pas l’incarnation respectivement de Cheikh Hamidou Kane, Jean-Paul Sartre, André Gide, Valentin Yves Mudimbe, Mongo Beti et Ousmane Sembene ?

     Peut-on lire le Cahier d’un retour au pays natal sans s’apercevoir de la révolte d’un scripteur noir face à la misère d’une race assujettie, chosifiée par la machine coloniale inhumaine et ravalée dans l’abêtissante condition d’homme sans culture ? L’Aventure ambiguë » demeure le décor où se fait jour la problématique de la tradition et la modernité qui place l’Afrique à la croisée des chemins.

     Cette interrogation de la Grande Royale est révélatrice de ce dilemme :

« Si je leur demande d’aller à l’école nouvelle, ils iront en masse. Ils y apprendront toutes les façons de lier le bois au bois que nous ne savons pas. Mais apprenant, ils oublieront aussi. Ce qu’ils apprendront vaut-il ce qu’ils oublieront » [3]?

Et de continuer : « L’école nouvelle où je pousse nos enfants tuera en eux ce qu’aujourd’hui nous aimons et conservons »[4].

III. L’expression du monde ou de la réalité

     Nous savons depuis Aristote que la littérature fait référence au monde, à la réalité (Memésis), quoique la critique structuraliste contemporaine ait proclamé la thèse de l’autonomie de la littérature par rapport à la réalité. S’il est vrai que la littérature parle de la littérature, elle ne  peut s’empêcher de parler du monde et de la réalité. En fait, l’on se rend paradoxalement compte que la critique structuraliste qui utilise la fonction référentielle du langage de Roman Jakobson nie en même temps son existence.

     Dans Ville cruelle, Mongo Beti distingue Tanga Nord et Tanga Sud, deux villes aux modes de vie diamétralement  opposées, comme le jour et la nuit. Le Nord est une ville industrialisée, électrifiée où le commerce est prospère. C’est la ville calme des Toubabs où il fait bon vivre grâce à un environnement sain, aux rues et constructions modernes commodes. A l’opposé, le Sud est un quartier de taudis et de galère qu’habitent les misérables et les moisissures de la terre. Cette ville est bruyante, dégueulasse et faite de grabuges de tous genres au point qu’on se croirait dans une jungle, au royaume du roi Pétaud.

     Dans Entre les eaux : Dieu, un prêtre, la révolution de V.Y. Mudimbe, l’on accède pratiquement à un univers carcéral où le jeune prêtre Pierre Landu, titulaire du diplôme de Docteur en Théologie, se retrouve comme pris dans un piège arachnéen qui l’empêtre désespérément. Le christianisme grâce auquel il croit sauver son peuple a trahi Jésus pour des intérêts capitalistes.

     Il se résolut à gagner le maquis dans lequel il décidera de désaliéner son peuple et de l’affranchir de toutes les iniquités sociales. Les méthodes caporalistes des maquisards le déçoivent une fois de plus. Accusé de visées séditieuses et passible de peine capitale, il se réfugie auprès de son ancien confrère Jacques Matani devenu Evêque.

     Un séjour qui ne durera que l’espace d’un petit matin parce qu’il volera en justes noces avec une certaine Kaayowa. Là encore, ce sera une énième déconvenue, d’autant plus qu’il abandonnera sa compagne enceinte pour retrouver la voie de ses premières amours : le sacerdoce pour lequel on lui fera porter l’habit sous l’appellation de Mathieu-Marie de l’Incarnation.

     A travers le paratexte ou le titre, l’on imagine déjà le mal être ou l’écartèlement du personnage qui s’engluera dans un cortège de déboires, comme en témoigne cette lettre adressée à son Evêque :

 « Monseigneur, je viens de comprendre ce que vous et les vôtres représentez. Je ne peux plus vous dire qu’une chose : votre règne est terminé. Ma vie passée au milieu de vous, je la regrette et la renie. Dorénavant, la foi dans la révolution de mon peuple sera mon but et la seule raison de ma vie. La suppression de l’exploitation sous toutes ses formes, particulièrement la religieuse, voilà mon travail. L’énorme abcès qu’est l’Eglise dans ce pays, nous allons, mes camarades et moi, le vider proprement.

     Dans l’espoir de vous revoir prochainement, je vous prie, Monseigneur, de croire à mes sincères respects »[5].

     Nous percevons à travers ces extraits qu’il est illusoire d’affirmer avec les théoriciens de la littérature qu’un signifiant ne donne pas directement accès, de manière permanente, au référent. Plus précisément, on se saura soutenir qu’un roman ne parle pas de la réalité, que le langage n’est pas référentiel et que la littérature ne parle jamais du monde. Le langage a sans aucun doute une relation référentielle à la réalité qu’il sied de saisir. Bref, tout en parlant de la littérature, la littérature parle aussi du monde et au monde.

IV. La place du lecteur dans la quête  du sens

     Jean-Paul Sartre a écrit : « Si l’auteur existait seul, il pourrait écrire tant qu’il voudrait, mais l’œuvre  comme objet ne verrait le jour, il faudrait qu’il posât la plume ou désespérât (…). Il n’y a art que par et pour autrui »[6].

     En effet, cette position sans équivoque confère une place de choix au lecteur comme à l’école de Constance, en Allemagne, sous la férule de Hans Robert Jauss. De la Poétique d’Aristote à l’Art poétique de Boileau, les théoriciens de la littérature accordaient une importance accrue à l’œuvre, à l’auteur et au code excluant ainsi le destinataire (lecteur, auditeur, spectateur). Pourtant, Charles du Bos considère la littérature comme « La rencontre entre deux âmes : le scripteur et le lecteur».

     C’est ainsi que, de nos jours, une branche de la littérature comparée qualifiée indistinctement d’« Esthétique de la réception », « Réception critique », « Métadiscours », « critique de la critique », « Evaluation du discours critique » a fait école dans nos universités.

     Pour  les tenants de cette approche, la richesse d’une œuvre se mesure à l’aune  de l’accumulation des sens que lui accordent les différents lecteurs au cours des temps.

     « On ne peut définir la signification totale d’une œuvre par la simple référence au sens  qu’elle avait pour son auteur ou pour ses contemporains. Elle est bien plutôt le résultat d’un processus d’accumulation, c’est-à-dire  de l’histoire qu’en ont fait ses lecteurs successifs »[7],

écrit Jean Starobinski.

     C’est ainsi que cette approche qui met le lecteur  à l’honneur comme épicentre de l’œuvre littéraire s’adonne assidûment à l’analyse du contenu de la critique d’accueil telle qu’elle transparaît dans les anthologies, les encyclopédies, les revues, les journaux, les colloques, les mémoires, les thèses… D’où sont nées aujourd’hui les notions de fortune et de succès de l’œuvre littéraire au regard d’un certain rayonnement de cette dernière sur le public appelé à se l’approprier.

     C’est donc, en définitive, que le lecteur à qui l’œuvre est destinée, selon le mot de Jean Paul Sartre (cfr supra), et qui s’en va à la quête du sens, du langage référentiel à la réalité ne mérite nullement l’exclusion dans le cercle de la critique littéraire.

 

Conclusion

     La critique structuraliste née, avec l’essor de la linguistique saussurienne, a dû fonder une science de la littérature que certains partisans qualifient superbement de : « Mathématique de la littérature». Cette dernière a remis en cause la conception académique antérieure en consacrant exclusivement l’immanence et l’auto–référence du texte.

     Une telle approche nous semble comporter quelques excès et limites, notamment une autosuffisance outrée, dans la mesure où l’œuvre littéraire est connue, dans l’herméneutique littéraire, comme « une bouteille à la mer ». Elle (l’œuvre) est polysémique et parle toute seule et comporte sa propre organisation. Paul Macherey écrivait : « Interpréter, c’est dire plus en disant moins ». C’est qu’aucune interprétation ne saurait épuiser la richesse incommensurable de l’œuvre, réceptacle ou creuset de moult significations ne pouvant se dévoiler véritablement qu’à l’aide des meilleures et nombreuses grilles de lecture.

     De ce point de vue, même les œuvres littéraires de l’antiquité et du temps médiéval dont on dirait qu’elles sont fossilisées et surannées nous offriraient encore aujourd’hui des significations insoupçonnées à la faveur des nouvelles grilles de lecture. L’œuvre littéraire ne dit donc pas la vérité et le critique n’aboutit pas à une évidence contraignante pour ainsi décréter « une mathématique de la littérature », mais plutôt à une entente intersubjective que d’autres critiquent qualifient de « cohérence ».

     La mathématicité de la littérature s’accommoderait-elle du phénomène littéraire connu comme village d’habitation des métaphores qui résiste par conséquent à toute objectivité ? Mathématicité équivalant à objectivité rimerait-elle  avec des notions de « labyrinthe », d’« arbitraire » et de « connotation » dont s’affublent les œuvres littéraires ?

     Loin de s’enfermer dans des oppositions radicales dictées par un structuralisme à outrance, la critique structuraliste gagnerait en s’adjugeant quelques aspects utiles des études académiques antérieures qui compléteraient avantageusement la quête de la cohérence et du sens de l’œuvre littéraire. Ce qui correspondrait pertinemment à « la conjugaison des méthodes » que prône Kabongo Bujitu.

     Il ne fait donc l’ombre d’aucun doute que les présupposés de la critique littéraire barthienne et proppienne… oublieux et ignorants du biographisme, du lecteur, du monde, de l’auteur et d’autres éléments consubstantiels au texte se révèlent trop restreignants dans la saisie globale et satisfaisante de la cohérence de l’œuvre.

     La critique littéraire, pour être exhaustive et efficiente, impose une gymnastique cérébrale devant osciller, de l’immanence à la transcendance, du  structuralisme à l’idéologie en vue de mieux cerner les différents contours d’une œuvre littéraire. Sans cette approche globalisante, la critique structuraliste court le risque de se révéler creuse, squelettique et oiseuse, loin d’atteindre son objet.

     C’est dans cette optique que l’herméneutique mauronnienne nous semble plus efficiente et crédible. Qualifiée de « Psycho-lecture » par Gérard Genette, la Psychocritique est une lecture flottante, une superposition des fragments d’un même auteur, pour faire apparaître des groupements d’images, des réseaux associatifs dont la récurrence est obsédante, paradigmatique, mais invisible lors d’une lecture normale syntagmatique. Et « le mythe personnel » qui s’en dégage ou « le moi créateur » est éclairé par « le moi social » biographique.

     En d’autres termes, les résultats de l’approche mauronnienne sont vérifiés par la biographie qui les confirment et les rend plus fiables.

 

Bibliographie

  1. André Martinet, Eléments de linguistique générale, Paris, Seuil, 1962.
  2. Charles Mauron, Des métaphores obsédantes au mythe personnel, Paris, Seuil, 1970
  3. Cheikh Hamidou Kane, L’Aventure ambiguë, Paris, Julliard, 1971.
  4. Gérard Genette, Figure I, Paris, Seuil, 1966.
  5. Doubrosky Serge, Pourquoi la nouvelle critique, critique et objectivité, Mayence, Mercure de France, 1966.
  6. Jean-Paul Sartre, Qu’est-ce que la littérature, Paris, Collection Idées, N.R.F, 1958.
  7. Jean Tarobinski, L’œil vivant II. La Figure critique, Paris, Gallimard, 1970.
  8. Roland Barthes, Le degré zéro de l’écriture suivi des éléments de sémiologie, Paris, Seuil, 1953.
  9. Sarah Kofman, L’enfance de l’art : une interprétation de l’esthétique freudienne, Paris, Galilée, 1985.
  10. Souriau, Etienne, Mille situations dramatiques, Paris, Seuil, 1965.
  11. Tsvetan Todorov, Théorie du symbole, 1977.
  12. Valentin Yves Mudimbe, Entre les eaux : Dieu, un prêtre, la révolution, Paris, Présence Africaine.
  13. Vladimir Propp, La morphologie du conte, Paris, Seuil, 1974.

 

 

 

 

 

[1] Jean-Baudouin MOKOHA MONGA-ADOGO, Professeur à la Faculté des Lettres et sciences humaines, Département des Lettres et civilisation françaises, Université de Kinshasa.

[2] Sarah. K., L’enfance de l’art : une interprétation de l’esthétique freudienne, Paris, Galilée, 1985.

[3] Hamidou Kane, C., L’Aventure ambiguë, Paris, Julliard, 1971.

[4] Idem.

[5] Mudimbe, Y-Y., Entre les eaux : Dieu, un prêtre, la révolution, Paris, Présence africaine, 1976, p.158.

[6] Sartre, J-P., Qu’est-ce que la littérature, Paris, collection Idées, N.R.F., 1958.

[7] Tarobinki, J., L’œil vivant II. La figure critique, critique et objectivité, Mayence, Mercure de France, 1966.

Par Mokoha Monga-Adogo J-Baudouin , dans RIFRA, Presses Universitaires de Kinshasa, 2024