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LA TYPICITÉ TEMPORELLE ET SON EXPRESSION DANS « SUEURS FROIDES » DE MBUYU MUKALAY.
TEMPORAL TYPICITY AND ITS EXPRESSION IN “SUEUR’S FROIDES” DE MBUYU MUKALAY.

Simon Pierre KALVA MWENE-MUBAMBI1
Sipkalmubambi@gmail.com – (+243) 996 648 174

Résumé

Paraphrasons Jean Rousset : « l’espace et le temps, sont deux claviers sur lesquels l’oeuvre littéraire se construit et se lit », (1963 :107). Nous partons de ce postulat pris comme élément constitutif, pour rendre l’oeuvre sous examen intelligible.

Mots clés : Généralité, types, signification, indices, portée événementielle.
Reçu le : 30 septembre 2023
Accepté le : 5 décembre 2024

Summary

Let us paraphrase Jean Rousset: "space and time are two keyboards on which the literary work is built and read", (1963: 107). We start from this postulate taken as a constituent element, to make the work under examina-tion intelligible.

Keywords: Generality, types, meaning, clues, event scope.
Received: September 30, 2023
Accepted: December 5, 2024

Introduction

Dans toute oeuvre d’esprit, tel le roman, le romancier, à travers ses personnages, illusionne des actions qui reflètent la réalité sociocultu-relle de l’homme. Ces actions sont datées et produites quelque part.
Ainsi, dans « Sueurs Froides » de Mbuyu Mukalay Antoine, les ac-tions à référents animées ou événementielles traduisent des faits d’une vie humaine vécue et chronométrée à l’aide des indices temporels.
Notre lecture de « Sueurs Froides » nous a permis de comptabiliser un certain nombre d’indices qui participent à sa construction et sa lec-ture. Ils sont identifiés sous forme d’heures, d’années et de moments ou périodes. Toutefois, nous n’allons pas dresser toute la liste de notre corpus, mais plutôt, illustrer à titre indicatif quelques actes temporels qui contribuent à l’intelligibilité de l’oeuvre.

1. Considération générale du temps

Fixant notre attention sur cette lecture du temps dans « Sueurs Froides », nous voulons saisir la façon dont l’oeuvre est organisée sur le plan temporel. Car, cette composante d’un récit est bel et bien iden-tifiée dans toute oeuvre, comme le confirme Roland Barthes, commu-nication 8, 1981, 7-8) : « le récit est présent dans tous les temps … ».
En effet, à propos du récit, il est établi un rapport entre la narration et l’histoire dans une oeuvre littéraire telle que « Sueurs Froides ». « Du point de vue temporel, on peut noter les effets narratifs concer-nant le point de la narration … » (G. Genette, figure II, 1969).
G. Genette parle de quatre cas de figure en rapport avec le temps : la narration ultérieure, la narration antérieure, la narration simultanée et la narration intercalée. Y. Reuter, quant à lui, en distingue trois dans un roman, à savoir : la narration ultérieure, la narration simultanée et la narration antérieure. (Y. Reuter 1991, 200 : 60).
Eu égard à cette observation, nous nous sommes préoccupé de cette différence entre les deux critiques littéraires. Certes, cette différence serait due, peut-être, aux romans analysés par l’un, (G. Genette) et l’autre (Y. Reuter). Car, ces deux critiques n’ont pas porté sur un même roman dont l’histoire racontée, présente les mêmes moments de base.
Par ailleurs, dans une oeuvre littéraire, on peut relever les différents types de temps qui caractérisent les actions temporelles. La lecture de
« Sueurs Froides », montre des personnages posant des actes qui sont des illusions créées par le romancier ; et ceux-ci le font dans le temps pour construire et lire une oeuvre.

2. Types de temps

Dans « Sueurs Froides », le temps est organisé de la manière sui-vante :

2.1. Temps réaliste ou merveilleux

Ce temps est une illusion créée par le romancier pour se conformer à la réalité quotidienne d’une société donnée. Cependant, dans ce ro-man, le temps réaliste place le narrateur et le lecteur de l’oeuvre dans la situation réelle ; car la manière dont les événements présentés, au regard des indices temporels, fait penser aux faits sociaux vrais :

« Qui pourrait imaginer l’angoisse qui étreint mon coeur solitaire ? Il est 21h30’. Dehors les amoureux se promènent bras dessus, bras dessous. Je suis seul dans ma petite maison que je loue dans la commune de Lemba depuis que j’ai commencé à travailler à la polyclinique du Docteur Kibwe ». (S.F., p.21).

Lorsque nous lisons cet extrait, nous avons l’impression de vivre la réalité d’un fait en train de se produire. L’indice temporel « 21h30’ » est une illusion créée, dont les effets sont des actes posés dans l’esprit du romancier, et qui répercutent la réalité sociale pour en faire une référence de la vie quotidienne humaine.
Certes, le temps romanesque permet au romancier de créer des illu-sions merveilleuses par rapport à la durée des événements qui se sont produits grâce aux actes posés par les personnages.

« En grandissant, les jumeaux se ressemblaient très fort. Les différences des traits apparus à la naissance étaient difficiles à repérer. A deux ans, les deux enfants courraient dans tous les sens, tombaient, se relevaient, touchaient à tout, dérangeaient l’ordre établi … A eux deux, ils faisaient plus de tintamarre que nous quatre … » (S.F., p.110).

Dans cet extrait, l’indice « deux ans » est un temps romanesque et illusoire que le romancier a créé pour dater la durée de vie des ju-meaux. Les deux ans sont un âge pendant lequel, les enfants, après leur naissance, posent des actes merveilleux qui ne sont que les étapes de la croissance humaine. Ces étapes sont observées quasiment chez tous les enfants, dans n’importe quelle société humaine.
D’où, l’illusion créée par le romancier, reflète la société réelle à travers laquelle, l’enfant mène ses actions d’apprentissage au fur et à mesure qu’il grandit.

2.2. Temps ouvert ou fermé

Dans un roman, le temps ouvert ou fermé permet aux personnages de se déplacer librement dans le temps en posant des actes par rapport au temps imparti pour les actions.
Une rencontre peut être fixée à une heure précise pour régler les différends, pour une visite de courtoisie entre les humains, voire pour une célébration d’un événement considéré comme un repère. Dans « Sueurs Froides », Julien Panda et le Docteur Kibwe se fixent un rendez-vous à 9 heures pour une visite de courtoisie.

« Je vous attends à 9 heures. Sur sa carte, il était mentionné « Docteur Kibwe, médecine interne de la polyclinique FOX, rue Kamba n°127 ». Mon père le raccompagne dehors, puis revint me rejoindre. » (S.F., p.12).

L’indice temporel « 9 heures » est aménagé pour une rencontre qui intéresse Julien Panda et le Docteur Kibwe. Ces deux personnages ont un message à se transmettre ; mais pour y arriver, il leur faut un temps de rencontre car, les deux n’habitent pas le même endroit. Parce qu’ils doivent se parler, l’heure fixée reste un repère indiqué pour réaliser cette rencontre.
Le romancier présente le reflet de la société à travers le comporte-ment qu’affichent les personnages dans une oeuvre. Cependant, l’indice temporel peut, d’après le romancier, servir à éloigner un per-sonnage par rapport à son activité qui semble être nulle, c’est-à-dire une activité dont le résultat escompté pendant autant d’année s’avère négatif au regard de la vie quotidienne du personnage.

« Un comité de contrôle va désormais t’apprendre à bien gérer ce centre … mon pauvre Julien !
Dans ses artères, son sang se mit à rouler à flots pressés, comme un tor-rent sauvage. Elle explosa :
– Qu’as-tu à gagner dans ce milieu incertain ? Tu viens d’y passer presque six ans, qu’as-tu obtenu ? Un grand zéro, vas-tu continuer à travailler bénévolement au profit des enfants des autres ? Et nos en-fants ? Qui s’en occupera ?
Nous sommes là en train de vivoter … » (S.F., p.91).

Dans cet extrait tiré de « Sueurs Froides », l’indice temporel « six ans » n’a pas apporté le bon sourire à Christine qui pense que, les six ans n’ont servi à rien. C’est un temps perdu ; un temps pendant lequel la situation familiale de Julien Panda a beaucoup plus marqué le pas, en lieu et place de connaître un progrès. D’où un temps fermé qui n’a rien comme effets positifs dans la vie quotidienne des personnages.

2.3. Temps public ou privé

C’est un temps fixé au début, pendant ou à la fin d’une activité pu-blique ; et, il constitue une référence ou un repère d’un événement qui rime avec l’acte posé dans l’oeuvre.
Après son job, l’homme est libre et agit selon son gré. Il n’y a pas de contraintes auxquelles il devra justifier par rapport à l’emploi du temps. Il est seul, soit accompagné de son épouse et leurs enfants ; soit encore, avec des amis pour échanger sur la vie quotidienne. Dans « Sueurs Froides », après le travail Julien Panda rentre à la maison, retrouver sa famille qu’il a quitté depuis le matin.

« (…) Je ne regagnais ma maison qu’à la venue du crépuscule, vers 18 heures 30’. C’est alors que je pouvais entendre la voix cristalline de Christine et les balbutiements de Jean-Luc et Jean Marc qui se dispu-taient mes genoux pour mieux étaler leurs découvertes. » (S.F., p.109).

Le repère temporel « 18 heures 30’ » est un temps privé de Julien Panda. Il est en famille, et il le gère selon lui et aux dépens de ses as-pirations et consentements.
Un malade, pris en charge, est suivi par une institution sanitaire qui assure son suivi quotidien jusqu’à sa guérison ou à sa mort. Après la piqûre qui lui a été administrée par l’agent traitant, Panda Pia, Félix s’apaise et ouvre les yeux.

« Nous restâmes immobiles à contempler mon père qui semblait quelque peu apaisé par la piqûre qu’il venait de recevoir. Au bout de trente mi-nutes, le malade ouvrit les yeux regarda le plafond puis tourna la tête dans notre direction ». (S.F., p.68).

L’indice temporel « trente minutes » par rapport à l’acte posé dans un lieu public, est un repère qui justifie l’action de guérir le malade pris en charge par une institution médicale publique de la place.

2.4. Temps sacré ou profane

Lorsqu’on décide de prendre officiellement sa femme, les deux fa-milles (celle de l’époux et de l’épouse) se présentent devant l’officier de l’Etat civil, ensuite devant le Curé de la paroisse pour le couple chrétien, afin de concrétiser le projet de mariage. Dans « Sueurs Froides », Julien Panda et Christine Youla sont deux fiancés qui se sont préparés pendant longtemps et qui ont décidé de s’unir pour de-venir mari et femme.

« (…). Une demi-heure plus tard, nous nous tenions devant le Curé de la paroisse de Lemba. Non loin de nous étaient assis côte à côte, mon père et ma mère, suivis de mon beau-père et de ma belle-mère. En face, avaient pris place mes deux soeurs. Puis venaient mon ami Didi et sa charmante Claire … ». (S.F., p.58).

Dans cet extrait, l’expression « une demi-heure plus tard », est un indice temporel à travers lequel les personnages se déploient et posent des actes romanesques. C’est un temps précieux en devenir pour ce jeune couple marié et c’est un temps repère qui marque le début du sacre solennel devant Dieu par l’entremise du prêtre.

Pareillement pour accabler un reproche à Julien Panda, Emile fait de révélations sur son comportement :
« (…). Monsieur Julien Panda, dit-il, tout le monde vous aime ici. Mais depuis quelques temps vous êtes devenu injuste. Pour vous, il n’y a que Max qui compte. Vous le favorisez en tout. Vous nous négligez. ». (S.F., p.52).

Dans cet extrait, l’expression « depuis quelques temps » est un re-père temporel profane à travers lequel, le temps, le moment a permis aux personnages d’observer le comportement affiché par Julien Panda qui, pendant ce laps de temps, son comportement ou sa façon d’agir a été défectueux ou n’a pas répondu aux attentes des pensionnaires à la ferme.

3. Signification du temps

Avant de signifier le temps utilisé par l’auteur ou le narrateur, afin de permettre la construction et la lecture de « Sueurs Froides », nous nous sommes imposé un exercice de comptage au terme duquel, nous avons dénombré plusieurs expressions temporelles. En effet, lorsque nous les avons comptabilisés, il ressort que les expressions sont répar-ties en heures, années et moments ou périodes. Ainsi, de toutes les expressions temporelles citées supra, nous nous proposons d’analyser quelques-unes, à titre indicatif pour illustrer notre recherche en sémio-logie romanesque.

À ce propos, nous avons sélectionné les expressions temporelles ci-après :
▪ 6 heures 30’
▪ 21 heures
▪ Dix ans
▪ Un soir
▪ Une semaine plus tard

Dans cette oeuvre, nous nous proposons de dégager le contenu sé-mantique du temps par rapport aux actions menées par les person-nages dans le récit. Il s’agit des expressions temporelles ci-après :

a) 6 heures 30’

Toute institution officielle ou privée qui utilise une main d’oeuvre humaine règlemente ses activités diurnes et nocturnes à l’aide d’un emploi de temps, fixant l’heure d’arrivée et celle de la fin. Cependant, dans « Sueurs Froides », Julien Panda est accepté dans la polyclinique pour y exercer le métier de médecin. Il respecte l’horaire de la poly-clinique pour le maintien de l’ordre au sein de l’institution hospita-lière.

« Je me réveillai plus tôt que de coutume, car l’horaire du travail nous obligeait d’être à la polyclinique dès 6 heures 30’. Une semaine s’écoula sans-à-coups ». (S.F., p.18)

Dans le récit raconté, l’indice temporel « 6 heures 30’ » est une heure romanesque à travers laquelle, les personnages déploient leurs actions pour poser des actes qui reflètent la société humaine. Ainsi, dans le cas précis, l’indice « 6 heures 30’ » indique un ordre, un commandement, voire une loi à respecter scrupuleusement par tous sans exception.

b) 21 heures

La femme qui attend famille est suivie dans un centre hospitalier, afin que le médecin soit informé de l’évolution du foetus. Dans « Sueurs Froides », Christine attend famille et son suivi est assuré par le Dr. Marina. Avant que la grossesse soit à terme, elle donne nais-sance précocement aux jumeaux.

« Cinq jours après son hospitalisation, tout se déroula comme prévu par le Docteur Marina. Christine mit au monde un samedi soir à 21 heures, un mois avant terme. C’était donc une naissance précoce qui nécessita une observation des enfants pendant quelques jours aux cliniques et même plusieurs jours encore après sa sortie de la maternité … ». (S.F., p.83).

Qu’il s’agisse d’un événement heureux ou malheureux, il est tou-jours dans daté pour le commémorer avec faste ou sous une médita-tion par rapport à son ampleur devant le public. L’indice « 21 heures » est un temps fixé par les personnages, qui marque la venue et l’accueil des nouveau-nés dans la famille de Julien Panda.

c) Dix an

Étudier est un travail intellectuel qui a un commencement et une fin. Le cursus d’études bien suivi, aboutit à un sacre qui justifie la fin des études. Dans « Sueurs Froides », après avoir suivi le cursus nor-mal de ses études universitaires en médecine, Julien Panda décroche son diplôme qui sera fêté plus tard par sa famille :

« Il y a dix ans, j’ai terminé mes études universitaires avec succès à la grande satisfaction de mes parents. Le souhait de mon père de me voir un jour décrocher le diplôme de docteur en médecine était enfin concrétisé (…) ». (S.F., p.7).

Dans le récit, l’indice temporel « dix ans » est un temps roma-nesque qui indique la durée ou l’âge de son diplôme, c’est-à-dire qu’il existe un écart considérable entre le jour du sacre et celui de la fête en son honneur ; et cet écart est estimé à dix ans. C’est l’âge-même de son diplôme.

d) Un soir

L’intellectuel est curieux de lire tout ce qui est écrit pour s’informer et se former. Les décors sur les pagnes ou sur tout habit, sont des messages transmis au public faisant l’objet d’information et d’apprentissage. Dans « Sueurs Froides », Julien Panda aperçoit des écrits sur un pagne ; il les lit et découvre un comportement à afficher pendant l’intervention chirurgicale. L’information reçue de ce pagne lui insuffle la peur d’exercer son métier.

« Pendant ma convalescence, je passais mes journées à dévorer les livres que mes soeurs m’apportaient. Un soir, une revue médicale retint mon at-tention. Sur une page entière était dessinée une main. En bas, une lé-gende disait : « Quand vous opérez, maîtrisez votre main, car elle peut tuer ! » Plus loin dans un article intitulé « l’art médical », le docteur Kli-bert déconseillait la profession à ceux dont les mains tremblent … ». (S.F., p.14).

L’indice « un soir » est un moment temporel à travers lequel les actes posés par les personnages s’accomplissent. Et dans ce cas, l’indice « un soir » marque la découverte ; c’est un repère de la dé-couverte des principes chirurgicales d’un médecin chirurgien. Julien Panda est terrorisé par le message lu sur la page d’une revue.

e) Très tôt le matin

L’estime d’une personne parmi tant d’autres ne se sollicite pas ; c’est une affection qui vient de soi, à travers le comportement affiché dans le groupe ou dans la communauté humaine. Dans « Sueurs Froides », Julien Panda, coordonnateur des activités agro-pastorales sur le plateau des Bateke, projette un voyage sur Kinshasa pour effec-tuer des achats au grand marché ; il pense l’effectuer avec Max qu’il embarque à bord de sa jeep très tôt le matin sans l’avoir prévenu :

« Ce fut une surprise pour Max. Très tôt le matin nous quittâmes le pla-teau des Bateke pour Kinshasa. J’avais dit à Max que nous devrions ef-fectuer des achats pour notre centre dans le grand marché de Kinshasa. Et c’était aussi une occasion pour moi de terminer le rodage d’une Range Rover, … ». (S.F., p.53).

Dans le récit raconté, l’indice « très tôt le matin » est un moment romanesque où, les personnages se déploient en action pour poser des actes romanesques. Cet indice est un repère qui indique le départ du plateau des Bateke pour Kinshasa. Il indique également une surprise d’accueillir son chef à ce moment où, l’on le croirait être encore sur son lit.

Conclusion

Pour conclure, nous retenons que notre article a permis de faire le point sur l’intelligibilité de « Sueurs Froides », à travers les indices temporels. Ceux-ci sont employés dans le récit pour dater les événe-ments ou les faits, les actions menées dans le récit raconté par le narra-teur. C’est pourquoi, pendant la construction d’une oeuvre, l’écrivain s’impose une chronologie datale, reflétant la vie quotidienne des hommes.
Donc, à travers les indices temporels que nous avons signifiés en rapport avec les actions menées par les personnages ; nous rejoignons la thèse de J. Rousset selon laquelle « le temps est un clavier sur le-quel l’oeuvre littéraire se construit et se lit ».

Bibliographie

-Mbuyu Mukalay A., Sueurs Froides, Kinshasa, Mediaspaul, 1993.
-Barthes, R., Communication 8, l’analyse structurelle du récit, Pa-ris, Seuil, 1981.
-Genette, G., Figure II, Paris, Seuil, 1969.
-Reuter Y., Introduction à l’analyse du roman, Paris, (Bordes-Dunod), 1991.
-Rousset J., Forme et signification, Paris, Corti, 1963.
 

Par Simon Pierre KALVA MWENE -MUBAMBI, dans RIFRA, Presses Universitaires de Kinshasa, 2024